LE PARCOURS (Îles Canaries 2017)

Programme périlleux et prérequis paradoxaux cette année :
– nous voulons des vacances au soleil, mais pas trop chaud le soleil (quelque chose de raisonnablement situé entre le four japonais de 2015 et la machine à laver norvégienne de 2016),
– nous voulons nous baigner, mais pas que (la plage, au bout de pas bien bien longtemps, ça nous enquiquine),
– nous voulons nous détendre, ne pas courir partout, maaaiiiis voir plein de belles choses.
C’est l’archipel des Îles Canaries qui est sorti du chapeau, composé de 7 îles volcaniques au large des côtes du sud du Maroc, il est l’une des dix-sept communautés autonomes d’Espagne. Lui revient la délicate mission de nous satisfaire.

C’est vrai, avant de nous y intéresser plus particulièrement ces dernières semaines, comme beaucoup nous n’en connaissions que l’aspect grandes plages au pied de mornes stations balnéaires. Heureusement il semblerait que ces grands ensembles dédiés au tourisme de masse soient concentrés sur quelques côtes, principalement sur Tenerife et Gran Canaria. C’est à la découverte du reste du territoire que nous partons.
Il nous a fallu tout de suite faire des choix difficiles : nous avons trois semaines, l’archipel des Canaries compte 7 îles, nous en avons choisi 3 : Tenerife, La Palma et Lanzarote. À la fin de notre séjour, nous mettrons le pied sur Gran Canaria, mais juste pour y prendre l’avion du retour.

Pas de camping cette année, notre équipement et notre organisme ne sont pas compatibles avec les températures estivales sous ces latitudes, même si le petit nom de ces îles – l’archipel de l’éternel printemps – sonne comme une rassurante promesse.
Pas de tracé de notre parcours sur de si petites surfaces, voici la liste de nos principaux points de passage, ceux qui apparaissent sur la carte ci-dessous (empruntée au site Routard.com) sont en couleur :